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An Ael War Mor

7 septembre 2006

L'Irlande , mon Pays

Voila quelque photos de mon ty paradis que je voulait vous faire partager, autour du connemara et partout en Irlande, vous pouvez retrouver des paysages magnifique  qui ressembleront trés certainement a ceux de Bretagne , autre  point commun , les légende sur les lutins et autre ......

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3 septembre 2006

Le coin le plus Beau du monde .....

Le coin le plus bretons de la terre,(la ou j'écrit tout mes poémes) et oui c'est bien là , le cimetiére de vieux bateaux , entre Tréffiagat et le Guil, vous voyez d'un coté du pont, le port et tout ses bateaux en usage , le seragil, le maris stella, le valparaiso, tout ces bateaux magnifique , et quand vous tournez la tête , vous avez le cimetiére des bateaux , les charpentes sont encore bien là , sous l'eau  , dans notre imagination, mais présente malgré tout . quelque photos de se paysage sans pareil ......

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:

Vous aimez le patrimoine maritime, les vieux bateaux, le site naturel de l'arrière-port du Guilvinec-Léchiagat,...

Vous êtes riverain, artiste, passionné d'histoire maritime locale, simple promeneur, bigouden émigré,...

La mise en valeur du site exceptionnel que constitue le cimetière de bateaux vous intéresse,...

Alors, adhérez ou souscrivez pour aider l'Association de sauvegarde du cimetière de bateaux à mettre en oeuvre ses projets en adressant un chèque:go_land

de 15 euros (adhérent)

de plus de 15 euros (souscripteur)

à: Madame LE BRIS DU REST Le Ménez 29730 LE GUILVINEC

libellé à l'ordre de: Association de sauvegarde du cimetière de bateaux

Vous recevrez une carte de membre et un compte-rendu de notre dernière A.G.

29 août 2006

LE GUILVINEC

Son histoire,

Elle est assez longue donc je vais commencer en 1919:

1919 : Le Guilvinec devient chef-Iieu du quartier maritime

Avant 1919, les numéros d'immatriculation des bateaux du Guilvinec étaient précédés de la lettre Q, Quimper, siège de l'inscription maritime. Au 19e siècle, les petits ports bigoudens ne possédaient pas d'immeuble suffisamment grand pour loger le bureau des affaires maritimes.
Un syndic représentait l'Administrateur au Guilvinec assurant les inscriptions sur le rôle.
L'extension du port devenue conséquente, l'éloignement des différents services eut de multiples inconvénients. La marine décida de transférer les bureaux de l'administration et les archives datant de Colbert dans le bâtiment nouvellement acheté sur la grand-rue, l'ancien Hôtel de l'Océan.
A partir de 1919, les immatriculations des ports bigoudens jusqu'à Bénodet portèrent les initiales GV.

1924 : Débuts de la motorisation de la flottille

La motorisation, largement utilisée dans les armées, eut des effets bénéfiques dans le secteur de la pêche. Louis Le Cleac'h, patron pêcheur surnommé "Ar lapin", qui avait déjà innové dans sa chaloupe en y installant une petite glacière, adapta de petits moteurs aux annexes sardinières. Cela permit d'évoluer plus vite sur les lieux de pêche, voire de retourner au port par temps calme à la vente de la sardine. Tous les patrons bientôt l'imitèrent.
L'année suivante, il équipa la chaloupe elle- même d'un moteur d'appoint. Les canots dragueurs de langoustines firent de même. La belle chaloupe sardinière conçue pour naviguer à la voile n'était pas vraiment adaptée à ce type de propulsion. Elle allait progressivement connaître un déclin irréversible, concurrencée dès 1927 par les petites pinasses motorisées plus effilées, plus rapides. "Ar lapin", un novateur! Que son surnom ne soit pas oublié !

1926 : Les grandes grèves des ouvrières des conserveries

Ce fut au Guilvinec, l'un des évènements les plus marquants de la première moitié du siècle tant par sa soudaineté que par son ampleur. Il est resté dans la mémoire collective comme le symbole de la lutte ouvrière, pourtant dans un monde assez peu syndicalisé, grâce à son slogan revendicatif "Pemp real a vo" (traduction littérale : "Ce sera 1 franc 25", le tarif horaire réclamé, soit une augmentation conséquente de 22 centimes), et surtout par l'image, immortalisée depuis, des Bigoudènes défilant drapeau rouge en tête.
Le mouvement revendicatif commença le 26 juillet à Lesconil "la rouge" en pleine période de sardines. Les ouvrières décrétèrent la grève, et pour ne pas rester isolées, décidèrent de manifester dans les rues du Guilvinec pour étendre leur mouvement.
Devant l'usine Paul Chacun, elles tentèrent de débaucher le personnel, puis à la Société brestoise, et enfin chez Riom rue Poul Ar Palud. Les ouvrières guilvinistes pour la plupart, se mirent en grève et manifestèrent dans les rues en chantant l'internationale. Une brave bigoudène qui ne parlait pas le français, chantait quand même "c'est la lune finale".
Il en résulta quelques incidents; des patrons ou gérants furent conspués. Les marins en arrêt forcé de travail, soutinrent les ouvrières, leurs épouses, leurs filles.
Pour mieux structurer le mouvement, Charles Tillon, délégué de la CG TU, arriva au Guilvinec. Il harangua les grévistes, réclama 1 ,35 F de l'heure et l'échelle mobile des salaires.
Une manifestation à Pont-L'Abbé tenta d'entraîner le personnel de l'usine Béziers. La grève dura près d'un mois. Finalement le patronat accepta le prix d' 1 ,25 F. "Pemp real a zo bet".
La plupart des ouvrières furent reprises sauf des déléguées syndicales. Mais Marcel Chacun, déçu par le comportement des ouvrières à son égard, déclara qu'il n'habiterait plus Le Guilvinec.
Tillon fut acclamé après avoir participé aux négociations. En raison d'une ressemblance frappante avec le futur ministre de la 4e République, un brave marin-pêcheur de Men-Meur fut, à vie, surnommé Tillon !

Décembre 1928 : Ouverture de l'usine Chemin de Men Meur

Dans l'ancienne glacière d'Emile Le Corre, rue de Men Meur la société Chemin qui avait déjà une usine à Douarnenez, en construisit une autre. Ses conserves portèrent la marque "Capitaine Cook". Il était prévu de lui adjoindre un atelier de dégradats qui assurerait entre autres le traitement des foies de poissons.

1929 -29 décembre: Sauvetage du trois- mâts polonais, le "Pomorze"

Le 29 décembre, un trois-mâts polonais de 80 m de long, venant de Saint-Nazaire, remorqué par un vapeur qui le conduisait au Danemark, pour y être réarmé, était en perdition dans la tempête au large de Penmarc'h. Son amarre rompue, le Pomorze dérivait vers les Etocs et allait s'y fracasser.
L'équipage pourtant réussit à jeter l'ancre à temps, maintenant le navire dans une position très délicate parmi les rochers, mais miraculeusement indemne. A son bord, neuf hommes et une femme, épouse du second, en voyage de noces !
Sur la côte, l'alerte avait été donnée. Les canots de sauvetage à rames de Penmarc'h et le "Vice- amiral Duperré" du Guilvinec, commandé par J.L. Court ès, se portèrent à son secours.
Toute la population fut tenue en haleine, le Pomorze risquant à tout moment de briser sa chaîne sous les coups de boutoir de la mer. Grâce à son moteur, "Vice-amiral Duperré" du Guilvinec réussit à sauver l'équipage et le conduisit au Guilvinec où il fut réconforté (les autres canots de sauvetage furent endommagés). Le lendemain, la mer s'étant calmée, le "Vice-amiral Duperré" réembarqua l'équipage polonais et sortit le Pomorze de sa position dangereuse. Le vapeur le reprit en remorque et parvint au Danemark sans encombre.
Le gouvernement polonais voulut remercier officiellement la ville du Guilvinec et les courageux sauveteurs. Le 12 mai 1930, une grande fête fut organisée sous le patronage du Consul avec le concours de la musique municipale et celle du 118e de Quimper.
Toute la population se réunit sur la place de l'église où une estrade fut montée pour recevoir les personnalités, députés, sénateurs, préfet, amiraux, maires, etc... De nombreux discours en hommage aux sauveteurs furent prononcés. Monsieur Le Consul remit la médaille de sauvetage polonaise au patron J.L. Court ès et à ses canotiers. Un grand moment !
Monsieur Le Maire, Eugène Kernaflen, remercia toutes ces personnalités de leur présence et la fête se termina par un défilé et un banquet à l'hôtel du Centre.

1930 -26 juillet: Pose de la première pierre du môle-abri

Pour empêcher les houles dangereuses venant du sud et de l'ouest de pénétrer dans le port, les autorités locales réclamaient depuis longtemps la construction d'un môle. Long de 320 m, il se fixerait sur les rochers de Faoutès et se refermerait sur la jetée du Guilvinec, laissant une passe de 150 m de large. Dans un second temps, ce môle joindrait Faoutès à la digue de Léchiagat, petit tronçon de 90 m construit en 1909, soit 150 m de plus.
Un énorme chantier installé à la pointe de Léchiagat fabriqua des milliers de blocs en ciment armé de 12 à 22 tonnes dont certains étaient destinés à être immergés. Un petit train venant de la carrière de Kéristin apportait les pierres qui passaient ensuite au concasseur.
Le 26 juillet 1930, les invités furent conduits par la vedette du chantier à bord d'un ponton sur lequel le premier bloc était déjà suspendu à un portique au-dessus de l'eau. Au signal de l'ingénieur se fit l'immersion guidée par un scaphandrier sur la base d'enrochement. Un second bloc fut aussitôt ajusté au premier.
Discours et vin d'honneur à l'hôtel du Guilvinec clôturèrent la cérémonie présidée par Monsieur Kernaflen, maire, car une grande partie des dépenses de construction était à la charge de sa commune. Les travaux durèrent deux ans.

1934 : Le premier malamok

La pêche guilviniste spécialisée dans la production de langoustines et de poissons nobles du jour restera longtemps liée à un type de bateau à la silhouette caractéristique, le "malamok" ou petit chalutier en bois qui évoluera progressivement en taille et en puissance motrice.
Les ports du sud comme Concarneau, Lorient avaient déjà conçu ce type de bateau avant 1930 en adaptant aux petites unités le procédé de chalutage à panneaux des grands vapeurs. L'un d'eux de Lorient s'appelait le "Malamok", un nom à résonance bizarre dont le sens échappa longtemps aux Guilvinistes qui croisaient dans les parages (c'est le nom d'un oiseau de mer).
Ces derniers en firent pourtant l'éponyme désignant tous ses semblables.
Les jeunes frères Quiniou Félix et Marcel du Guilvinec gréèrent en 1934 le "Ernest Zégut", une belle pinasse rapide construite par les Hospitaliers bretons pour S. Tirilly, en l'équipant de fermes, d'un treuil, de panneaux et d'un chalut conçu par Y. Le Prince, ancien patron lorientais d'un grand chalutier-fer, fondateur d'un atelier de fabrication de filets à Léchiagat.
Le malamok guilviniste venait de naître.
Les résultats ne se firent pas attendre dans les pêcheries de merluchons et de langoustines des canots dragueurs. Entre temps, la pêche aux langoustes, concurrencée par les apports étrangers et particulièrement ceux d'Afrique du Sud, subit une grave crise. Les patrons de Léchiagat vendirent ou abandonnèrent alors leurs langoustiers pour faire construire des "malamoks" tout neufs en gardant la forme effilée des pinasses, mais en renforçant leurs membrures et en les dotant d'une cabine, tels le "Pacifique", le " Léon Gambetta" ...
Les patrons des pinasses sardinières ne furent pas en reste. Toutes furent gréées en "malamocks" pour la pêche d'hiver.
Dans les années 50, ce seront plus de 120 malamoks de 14 à 17 rn qui sortiront des chantiers guilvinistes mais le mot "malamok" sera assez peu utilisé par les marins eux mêmes pour désigner les nouveaux chalutiers-thoniers.

1935 : Victoire des communistes aux municipales

On l'a dit, les partis conservateurs furent peu influents au Guilvinec; François Le Berre, républicain radical resta 21 ans à la tête de la commune. En 1919, le radical-socialiste Jean Le Cleac'h dit "Calopic", patron-pêcheur, fut élu maire; à ses côtés, Eugène Kernaflen premier adjoint, un ancien du petit séminaire, comptable à Nantes, mais revenu au Guilvinec reprendre l'affaire familiale. En 1925, les positions des deux hommes furent inversées. Eugène Kernaflen, ami du député Le Bail prit la tête de la mairie avec Calopic premier adjoint. Rebelote en 1929. Entre temps, les partis socialiste et communiste avaient pris de l'envergure comme au plan national.
Aux élections de 1935, quatre listes se présentèrent devant les électeurs, celle du maire sortant, la liste républicaine, laïque et socialiste, celle de Guillaume Le Bec, socialiste, celle de Pierre Maréchal du Bloc ouvrier, paysan et marin (communiste), et la liste d'union républicaine d'inspiration chrétienne de Jean-Marie Biger, un patron-pêcheur influent très estimé. Ce fut ce dernier d'ailleurs qui obtint le plus de voix. Dans l'ensemble, le P .C. avait une légère avance. Estimant sans doute que chacune gardait sa chance, les quatre listes se maintinrent au second tour. Surprise le 12 mai, 19 sur 23 candidats de la liste communiste furent élus à la majorité relative, soit 451 voix pour Marc Scouarnec sur 1134 votants. Les trois autres têtes de liste passèrent également, dont Jean-Marie Biger que d'aucuns appelaient le "communiste chrétien".
P. Maréchal, patron-pêcheur, refusa la charge de maire, arguant du fait qu'il séjournait de longs mois au Croisic à la pêche à la sardine. Marc Scouarnec qui pratiquait la petite pêche sur son canot "Karl Marx" vendit ce dernier pour un plus petit.
Ce fut une surprise dans le département, mais ce ne fut pas la seule. A Treffiagat, l'union populaire de Jean Le Coz devança d'un siège la liste radicale. Jean Désiré Larnicol, 25 ans seulement mais disponible, accepta d'être maire après quelques hésitations. Le Guilvinec, Treffiagat, Concarneau: les trois mairies communistes du département.

1936 : Le Front populaire

La nouvelle municipalité du Guilvinec ne se contenta pas de gérer les affaires de la commune.
Des discussions politiques, en cette période d'effervescence idéologique, animèrent les réunions du conseil municipal. Des motions furent plusieurs fois expédiées au Préfet, comme la demande de suppression des ligues nationales factieuses (Croix de feu, etc).
Aux législatives de 1936, l'union fut appliquée au deuxième tour. Marc Scouarnec et P. Maréchal organisèrent un service de car pour rameuter les électeurs de gauche en pêche au Croisic, au bénéfice du radical G. Le Bail de Plozévet qui l'emporta de 14 voix seulement sur son adversaire "blanc" Queinnec.
Après les élections, le comité local du Front populaire organisa une fête de la victoire à Pont- L'Abbé. Les manifestants au retour défilèrent dans les rues du Guilvinec, drapeau rouge en tête. Ils se rendirent à la place de la cale où Marx Scouarnec prononça une allocution. Puis le groupe se disloqua devant la mairie en chantant la Marseillaise et l'Internationale.
Le conseil municipal condamnera les accords de Munich auprès du Préfet. Mais à la suite du pacte germano-soviétique, l'équipe municipale avec les quatre élus non communistes sera déchue et remplacée sur ordre de Daladier par une délégation spéciale dirigée par Monsieur Pérodeau, receveur des P.T.T.

1937 : Développement de l'émigration des Guilvinistes vers les ports du sud

Commencées au début du siècle au temps des chaloupes à voile en raison de la raréfaction de la sardine sur nos côtes, les migrations guilvinistes vers Quiberon et Le Croisic ont drainé de mai à novembre plus de mille marins des équipages de 80 à 90 pinasses.
Si l'on compte les familles des patrons et de beaucoup de matelots, les ouvrières d'usine qui  allaient faire la saison tout le long de la côte, ce furent plus de 2000 personnes qui partirent vers le sud, vivant chez l'habitant dans des conditions souvent précaires.
Le mouvement s'amplifia par le départ de différents services (mareyeurs, commerçants, constructeurs, usiniers même, etc...) vers les bases avancées que furent Le Croisic et Quiberon proche des lieux de pêche poissonneux.
Ces migrations saisonnières furent à l'origine d'implantations définitives de centaines de Guilvinistes sur ces rivages ensoleillés. Ce mouvement à n'en pas douter aurait progressé considérablement si la guerre de 1939 ne l'avait pas stoppé net surtout vers Quiberon.

1938 : Création du cours complémentaire mixte sous la direction de Tudy Prigent. Évènement majeur. Le CC donna à beaucoup d'enfants du Guilvinec et de Léchiagat la possibilité de poursuivre des études secondaires jusque là limitées à un petit nombre.

1939 : L'arrivée des réfugiés espagnols

Ce fut un drame qui impressionna vivement la population guilviniste. La vue de ces femmes, enfants, vieillards, miséreux, démunis, mal vêtus, tristes, est restée dans les mémoires.
La guerre civile espagnole entre les troupes républicaines et les nationalistes du général Franco jeta des centaines de milliers de réfugiés sur les routes. Fuyant devant les troupes franquistes, ils franchirent les Pyrénées.
La municipalité de gauche du Guilvinec se porta volontaire pour en accueillir. Un comité composé du Maire, d'adjoints et de personnalités comme A. Biguais, J.Nadan, fut mis sur pied pour subvenir à leurs besoins. Une cinquantaine environ, venus de Barcelone, furent logés dans l'ancienne poste, mais mis aussitôt en quarantaine en raison de maladies qu'ils pouvaient véhiculer. La population fut sollicitée pour leur offrir ustensiles, matelas, vêtements, victuailles.
Ils séjournèrent au Guilvinec jusque la fin de 1939. José Soler joua même à l'USG. Puis ils furent évacués vers l'Ile Tudy où ils logèrent dans une usine. Vers 1942, ils franchirent la ligne de démarcation vers la zone sud pour tenter de retrouver leurs proches internés dans les camps de Gurs et d'Argeles. La plupart ne retournèrent plus en Espagne.

Je ne vais pas vous mentir , l'histoire du guilvinec , e l'ai prise sur le site officiel allez-y vite , sa vaut le coup surtout , aller voir la webcam qui est situé dans un coin magnifique vers la crié ! le site c'est : http://www.leguilvinec.com

aller fair un ty tour !

28 août 2006

La célébre foire a l'ancienne de Pont de Croix

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La foire en elle même :PICT0149

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28 août 2006

le Belem, à Douarnenez

Le belem

Si le Belem pouvait parler, il aurait sans doute beaucoup de choses à raconter, ce prestigieux trois-mâts, dernier grand voilier marchand français. Lui qui avait été construit en 1896 pour assurer le transport de marchandises (sucre, rhum, et surtout fèves de cacao pour le célèbre chocolatier Menier) entre la France, le Brésil et les Antilles. Lui qui en mai 1902, alors qu'il mouillait en baie de Saint-Pierre en Martinique, fut le seul à échapper, par miracle, à l'éruption de la Montagne Pelée, qui fit 30 000 morts ! Lui qui parcourut durant un siècle toutes les mers du globe, battant pavillon français, anglais ou italien. De 1896 à 1914, le Belem effectua 33 campagnes "au commerce" entre la France, le Brésil et les Antilles. À la veille de la première guerre mondiale, les "vapeurs" entraînent inexorablement la disparition des grands voiliers marchands, plus lents et moins fiables. Le prestigieux trois-mâts entame alors une nouvelle carrière, transformé en yacht de luxe. Plus de cent ans après sa première traversée de l'Atlantique, le Belem devenu bateau-école, a retrouvé la route des Epices pour une 34e campagne. Du 3 au 5 mai, il a mouillé à Pointe-à-Pitre, avant de se rendre en Martinique pour assister à la commémoration de l'éruption de "La Pelée".

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28 août 2006

Les rochers

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Voila des rochers trés beau, les rocher sont la marque d'un temps qui passe, chaque marque signifie une vague, un idée que quelqun as eu en se reposant la, le rocher marque de moment importants de la vie de chacun, certain le savent d'autre pas.

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28 août 2006

Que serait la bretagne sans eux !

  • Eh oui je veut bien sur parler de se groupe légendaire qui se nome Gwern !

il y as 10 ans le groupe c'est formé pour le plus grand plaisir de chacun , depuis il compte quatre membres :

  • Gil Le Corre, Au chant, à l'accordéon diatonique, shaker, a l'oeuf, au soupir mais la fonctions principal de Mr Le Corre, marchant de bonheur .
  • Bernard Cossec, auteur-compositeur  de chanson merveilleuse : " la vie de marins ","Cimetière au fond du port "," Triste fin " .....,mais aussi au chant , à la guitare accoustique au banjo ( c'est un vrai virtuose sur john Kanak ! au shaker , à la flute sur la suite de valse du troisiéme album ,au derbouka et au célébre pom pom
  • Antony Coîc , qui as une marque de café pour lui tout seul et une superbe basse, chante, joue de la guitare accoustique et du poutou poutou ( les poissons )
  • et enfin , Mikael Gaonarch qui lui chante, joue aussi de la guitare accoustique,de la guitard additionnel et du clap !

Voila je croit que je vous es tout dit mis a part ou l'on peut les entendre chanter mais sa il faut aller leur demander en personne sur le site qui est le suivant : www.gwern.com

et pour un couriel il faut ecrire à : contact@gwern.com

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An Ael War Mor
  • -Le mari , il fait quoi ? -Il bosse à l'arsenal de brest. -Et sa femme ? -Elle fait rien non plus. Bien le bonjour à tout les passionés du Finistére sud !Ici dans ce petit mini blog , vous aller voir le finistére ce que l'on appel " LE GUILVINEC"
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